Ganglion Grueneberg
Par Jojaba, samedi 6 septembre 2008 à 20:38 :: #32
22 agosto 2008- LOS ANIMALES MAMIFEROS TIENEN UN GANGLIO QUE DETECTA LA FEROMONA DEL PELIGRO
Trini & Miquel (SAC XIROI) ...Lo hemos detectado y empleado en la Terápia Asistida por Animales en el SAC XIROI des de el año 1986
Los mamíferos detectan mensages de peligro a travé de un gánglio situado entre las fosas nasales, que recibe las feromonas de alarma que han estado liberadas por un congénere, para advertit una amenaza, según un Equipo Científico de la Universidad de Lausanna (Suiza).
La ciencia ya había estudiado este sistema de alerta en otras especies, pero en los mamíferos el proceso era muy poco conocido.
Los Científicos de Suiza han re-descubierto el gánglio de “Grueneberg”, situado en la entrada de la nariz y dotado de 300 a 500 células muy poco conocidas, pero que fueron identificadas el año 1973.
El microscópio electrónico ha permitido demostrar que pueden detectar las feromonas y después el gánglio emkite una señal de peligro al cerebro.
Los científicos han experimentado con ratones, a los que se les han privado de éste gánglio. Ëste gánglio eswtá presente en la mayoría de mamíferos y el año 1973 el Científico Sr. HANS GRUENEBERG lo detectó en el ser humano, cosa que ahora se ha de confirmar con los conocimientos disponibles.
L'olfaction spécifique d'un signal de danger chez les souris - Source : Eurekalert
Le nez des mammifères contient un capteur pour les signaux d'alarmes émis par leurs congénères rapportent des chercheurs suisses. Appelé « ganglion Grueneberg », il consiste en une boule compacte de cellules rondes située près du bout du nez. Il a été découvert en 1973 mais son rôle était débattu depuis. Julien Brechbühl et ses collègues montrent que le ganglion Grueneberg capte les phéromones d'alerte produites par les autres membres de l'espèces lorsqu'elles sont en détresse. Des phéromones d'alarme sont connues chez les plantes, les poissons, les insectes et les mammifères sans que l'on sache précisément en quoi elles consistent, comment elles sont produites et détectées. On peut les recueillir en prélevant l'air autour de l'animal stressé. Les chercheurs ont comparé comment des souris dépourvues ou non de ganglion Grueneberg répondaient à des phéromones d'alarme émises par d'autres souris. Alors que les souris normales cessent alors d'explorer leur cage pour se blottir dans un coin, les autres n'en font rien, comme si elles étaient inconscientes du signal de danger. Les souris sans ganglion Grueneberg étaient pourtant capables de sentir comme les autres souris une friandise cachée dans leur litière, ce qui prouve que leur système olfactif était fonctionnnel. Les auteurs ont aussi utilisé la microscopie électronique pour étudier la morphologie de ce ganglion et ils ont pu déterminer que ses neurones étaient similaires aux autres neurones olfactifs.
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